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la moisson des auteurs |
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Sunderland Clément Koch |  | photo : DR |
| | | Au nord de l’Angleterre, la pluie, la grippe aviaire et les défaites de l’équipe de foot locale n’ont pas eu raison de la volonté de vivre de Sally. Pourtant, si dans quelques jours, elle ne trouve pas à un travail, elle risque de perdre la garde de sa petite sœur, qui souffre de troubles mentaux. Alors, pour ne pas la renvoyer au Centre, elle est prête à tout, y compris devenir une mère de passage et louer son utérus. Et c’est armé de sa meilleure amie, à l’esprit aussi vif que le flashy du vernis de ses ongles, qu’elle s’apprête à recevoir ce couple, certes peu conventionnel, qui peut changer sa vie. Mais, la morale des autres n’est pas toujours d’accord avec vous et, faute de réussir à vous faire changer d’avis, elle peut tenter de vous détruire, quitte à mentir un peu…
Sunderland est une comédie sociale, héritière du travail de Ken Loach, de Martin McDonagh, de Lee Hall... Sans jamais tomber dans le misérabilisme et le désespoir, elle est au contraire un hymne à la joie et à la liberté. Une pièce à vivre et à vous faire aimer le haggis aux poumons d’agneaux et au foie de porc.
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| "Sunderland, je l'ai lue d'une seule traite avec l'envie de tourner la page pour connaître la suite, sans interrompre la lecture pour boire un café ou répondre au téléphone. Il fallait que j'aille au bout. Et la brochure refermée, j'étais encore dans cette petite maison d'une petite ville anglaise. J'avais ri. J'avais pleuré... j'avais pris comme une leçon de vie."
Extrait de la préface de Stéphane Hillel pour l’édition
« On est quelque part du côté de Full Monty, des Virtuoses ou de Local Hero, mais Sunderland est écrite par un Français : Clément Koch. Ce n’est que sa deuxième pièce mais il a déjà du métier. C’est habile et malin. Il a mis dans Sunderland un soupçon de mélo (juste ce qu’il faut pour émouvoir), une touche d’amoralité gentiment assumée et une grande rasade d’humour désenchanté et ravageur. »
Bruno Jacquot, Le Figaro, 3 octobre 2011
« On est comme dans un film social anglais, avec beaucoup d’humour en plus. On parle vrai et clair. Derrière toute la misère morale, il y a l’amour qui lie trois filles, trois êtres qui se débrouillent pour se faire une vie autre que celle qu’on leur a tracée. Le don, l’affection, la solidarité, justifieront le moyen pour trouver ‘une porte ouverte’.»
Tout pour les femmes, 29 septembre 2011
« Qu’il est beau et émouvant le texte de Clément Koch, entre rires et larmes comme la vie. L’auteur fait preuve d’un style remarquable. Rarement un homme a su si bien écrire pour des actrices. »
Marie-Céline Nivière, Pariscope, 5-11 octobre 2011 |
| Création au Théâtre de Paris le 15 septembre 2011. Prolongation jusqu'en juin 2012.
Mise en scène : Stéphane Hillel. Avec : Elodie Navarre, Thierry Desroses, Constance Dollé, Vincent Déniard, Pascale Mariani, Vincent Nemeth, Bénédicte Dessombz.
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| Personnages : 5 femme(s) - 3 homme(s) - Editions de L'Avant-Scène, Collection des Quatre-Vents - www.avant-scene-theatre.com |
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