|
|
[ anglais ] |
|
|
|
|
la moisson des auteurs |
|
|
|
|
|
Sainte-Machine Charles Charras et André Gille | | | | Dans un village de montagne, en Italie, les tremblements de terre sont monnaie courante, en dépit de Sainte Pélagie, la sainte tutélaire, objet d’une dévotion superstitieuse. Ici, les hommes vont aux champs, les femmes cousent et bavardent; ils vivent de peu.
Un beau jour, une jeunesse du pays, Maria, achète à tempérament une magnifique machine à coudre, chef d’œuvre de technicité. Amené par camion, dans une énorme caisse, l’engin rutilant attire tout le village dans la maisonnette où Maria vit avec son grand-père. Cette arrivée coïncide avec un tremblement de terre. Une seule maison est épargnée, celle du Pépé. Doucement, une idée se fait jour dans l’esprit de ces montagnards. Sans la machine, ils seraient tous morts…
|
| « Gille et Charras n’ont pas oublié que le rire reste le meilleur moyen de supporter le monde qu’on vous impose. Sainte-Machine démystifie joyeusement, par l’intermédiaire d’un groupe de paysans italiens qui ont compris l’absurdité des temps modernes, l’administration et le système. C’est du Goldoni 1977. […] L’histoire, truffée de gags, se terminera pour le mieux dans le meilleur de mondes […]. »
Prologue, n° 104, décembre 1977
|
| Création au Théâtre Nouveau Gymnase de Liège en 1978, dans une mise en scène d’André Gille. |
| Personnages : 3 femme(s) - 11 homme(s) -
|
| Pas d'extrait disponible pour cette oeuvre. |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
SACD | 11 bis, rue Ballu – 75442 PARIS CEDEX 09 – France
© Tous
droits réservés Entr'Actes 2007-2014 - Consultez les mentions
légales |
|